Le jeudi 10 janvier
2019, Bernadette Grignon et Jean-Marc Brault de Bournonville ont rencontré
Bruno Neil, directeur général d’EXCELIA
Group afin de lui présenter l’IHEDN et les Lundis de l’IHEDN, avec pour objectif de permettre aux étudiants de
pouvoir assister à ces téléconférences dont la dimension géopolitique et
l’ouverture sur l’international ne peuvent qu’enrichir la vision de la France
et la sensibilité civique de ces futurs acteurs du monde économique.
Le suivi de l’accord
obtenu n’a pas été aussi positif que prévu initialement, la première
retransmission, le lundi 25 mars, s’étant faite sans que le comité 17 ne soit
invité à y participer.
Ayant
informé par lettre le directeur général de ce dysfonctionnement, la séance de
rattrapage s’est faite par une initiative qui a néanmoins surpris les membres
du comité engagés dans cette démarche : en effet, au lieu de prévoir la
présentation rapide mais bienvenue des Lundis
de l’IHEDN et de l’Institut lui-même lors de la première téléconférence
dont on espère qu’elle aura lieu si ce n’est en septembre du moins en octobre,
cette présentation s’est faite non seulement en plusieurs interventions, mais
encore en ne touchant que le public estudiantin du cursus Bachelor (BBA
International) :
le mercredi 4 septembre : B. Grignon et J-L Keszler auprès des étudiants de 1ère année
le lundi 9 septembre : B. Grignon et J-M Brault de Bournonville auprès des 4ème année
le jeudi 12 septembre : B. Grignon et J-M Brault de Bournonville auprès des 3ème année.
Il reste à espérer que
tous les étudiants soient néanmoins informés de la date de la prochaine
téléconférence, qui devra certainement être précédée d’une rapide présentation
de l’IHEDN.
Les membres du comité
17 auront donc le choix d’aller aux téléconférences soit dans le grand
amphithéâtre de Sup de Co à La Rochelle, soit à la BA 721 de Saint Agnant dont
Paul Morin ne sait pas encore s’il est possible de reconduire l’accord obtenu
du précédent DMD.
Discours de Bernadette lors de sa fin de mandat de vice-présidente en charge du comité Aunis-Saintonge (17).
Quelques considérations non intempestives pour répondre à quelques interrogations.
« Qu’est-ce
qu’on t’a fait ? » s’exclama notre ami Jacques Tabary, à
l’annonce de ma démission, véritable cri du cœur exprimant ainsi le désarroi
silencieux de ses camarades qui ne semblaient pas avoir pris au sérieux les
« prémic/sses » (dans tous les sens du terme) de mon retrait
de la fonction de vice-présidente ayant en charge le Comité Aunis-Saintonge,
comme se plaît à le nommer notre éminence grise, Philippe Mounier, si féru
d’histoire…
Cette
présidence, je l’ai acceptée en
octobre 2011, dans le contexte tragique de la mort de Pierre-Philippe Feyzeau,
au moment de ma prise de retraite de l’Éducation Nationale, prendre sa retraite ne signifiant pas pour
autant battre en retraite !
Je ne peux
donc pas m’exclamer comme
Jacques-Louis Keszler avec lequel je suis allée voir les étudiants d’EXCELIA à
La Rochelle (Groupe Sup de Co dont il a été le fondateur et nous y avons
travaillé de concert à l’époque) pour y présenter les Lundis de l’IHEDN :
« Nous retrouver ensemble à Sup de Co… c’est du Dumas !… 20 ans après !! »
parce
qu’en réalité, en ce
qui me concerne, trois mandats de présidente ne font que neuf ans… et nous ne
sommes même pas encore en 2020 !
Par contre je peux dire « 20 ans après »,
ayant fait la session régionale de Poitiers en 2000 avec Christophe (Royer), et
un certain nombre de nos amis de l’AR 18.
Devenir alors « auditeur » a officialisé
pour moi un engagement personnel qui, lui, remonte aux années 90, au sein du
Trinôme académique dont l’action s’inscrivait dans les valeurs civiques de la
République, et rayonnait en osmose avec l’AR 18.
C’est ce
sens du devoir, ce
respect des valeurs humanistes qui m’ont fait accepter la responsabilité de la
présidence en octobre 2011, m’inscrivant ainsi dans la succession de
Pierre-Philippe Feyzeau, Max Clicquot de Mentque, et même de Paul Guéneau dont
il ne faut pas oublier qu’il a fait vivre en son temps le comité, même si sa
modestie ne l’a pas conduit à le faire connaître. Ce fut du reste une belle
époque, bien avant 2000, où le comité qui n’était pas encore identifié comme
tel, rayonnait sur l’AR 18 par son travail interdépartemental auquel
participaient certains d’entre vous toujours présents, fidèles parmi les
fidèles : Alain Amat, Christian Beaudeau, Claude Boudesseul, Régis Hardy…
J’ai donc
pris la présidence dans l’urgence de la situation,
et surtout pas pour céder à la mode d’une parité dont la revendication
systématique me semble plutôt déshonorer la gent féminine, mais j’ai surtout accepté
parce que je savais pouvoir m’appuyer sans réserve sur Jean-Claude Rodriguez,
qui eût dû lui-même devenir président d’un comité dont il a été la véritable
cheville ouvrière…
Partagez donc avec moi l’émotion de savoir que je
pars sans regret, laissant à Paul Morin une responsabilité dont il a déjà
témoigné par son investissement personnel, au sein d’un comité qui bouillonne
d’idées et d’initiatives dont la dernière, et pas la moindre, est la création
du site Internet que l’on doit à Christian Chauvet et Jacques Tabary, tous deux
faisant entrer l’AR 18 de plain-pied dans le XXIème siècle.
Que cette réunion de ce soir soit donc un véritable « trait… d’union » … tiret du 6 « – » comme du 8 « _ » puisqu’il souligne l’arrivée du nouveau président : bienvenue Paul !
Bonjour. Merci à tous pour avoir contribué et participé au succès de la cérémonie en hommage à Bernadette qui s’est tenue hier soir lundi 23 septembre au cercle militaire de Rochefort. Vous trouverez la photo de groupe prise sur l’initiative de Jean-Michel CLÈRE. Merci aussi à celles et ceux qui ont contribué à cette réussite et qui, malheureusement, n’ont pu se libérer à cette occasion. Amitiés Paul Morin
Très chers Amis,
Je suis encore sous le coup de l’émotion qu’a provoquée la surprise de cette réunion, véritable cérémonie dont je reste encore toute esbaudie du secret de l’organisation et des honneurs auxquels j’ai eu droit.
Après ce bel hommage et ce magnifique cadeau qui témoigne de la résistance de la plume au clavier… un repas très convivial a permis de prolonger ces échanges animés par une amitié dont le témoignage en est la présence de Jean-Claude Duchet, accompagné du général Ménanteau et du président du comité 16, Dominique Faure. Nous devons à l’initiative du président de l’AR 18 la réduction à un prix symbolique de ce repas « amélioré », selon l’expression consacrée.
Notre nouveau président, Paul Morin, prenant début octobre quelques vacances bien méritées, je vous enverrai prochainement l’invitation à participer à notre réunion du lundi 21 octobre (qu’il présidera), dont l’ordre du jour reconduira en grande partie celui du 23 septembre.
En vous renouvelant mes remerciements très émus, croyez à la fidélité de mon engagement associatif et à la sincérité de mon amitié.
En pleine Première Guerre mondiale, George Clémenceau jugeait déjà en 1917 :
« l’essence aussi nécessaire que le sang des batailles de demain ».
La sécurité de l’approvisionnement énergétique des forces armées, en particulier en carburants, est en effet une condition centrale du bon déroulement des opérations militaires. Elle conditionne la liberté d’action des forces engagées qui doivent à ce titre éviter toute rupture des flux tout en bénéficiant de produits pétroliers dont la qualité est avérée.
Un organisme central créé en 1945, le Service des Essences des Armées (SEA), est en charge de garantir cette sécurité énergétique des armées françaises (1) : il gère toute la chaîne de l’approvisionnement pétrolier du ministère de la Défense, depuis l’acquisition de produits pétroliers et leur homologation à leur distribution (2) en passant par la construction des infrastructures pétrolières.
Dans cette étude publiée par le Laboratoire de recherche sur la défense de l’Ifri, Paul Kaeser, ingénieur militaire au sein du SEA, rappelle les missions dont est investi cet organisme en pointant ses forces et ses vulnérabilités ainsi que les nouveaux défis auxquels il est aujourd’hui confronté, dans un contexte de « transition énergétique ». Il étudie les pistes pour « renouveler » la sécurité énergétique des armées françaises qu’il définit comme la « capacité à assurer en tout temps et en tous lieux l’alimentation en énergie des installations militaires et des systèmes d’armes déployés, même en cas de rupture des flux externalisés ».
Fort d’un effectif d’environ 2 100 personnes, le SEA dispose entre autres d’une quarantaine de dépôts pétroliers en France, d’environ 400 camions de transport et de 140 wagons-réservoirs.
En 2014, environ un quart des carburants qu’il a distribués l’ont été sur le terrain d’opérations extérieures (OPEX). Les ruptures de flux pétroliers y constituent une difficulté récurrente. Le SEA recherche une redondance de ces flux d’approvisionnement afin de garantir la sécurité énergétique des forces engagées (nécessité opérationnelle en contradiction avec l’optimisation financière) et s’appuie sur les fournisseurs pétroliers locaux lorsque cela est possible (3).
Ce Service peut soutenir des forces dès leur entrée sur une zone d’intervention en déployant immédiatement une chaîne d’approvisionnement pétrolier. Les détachements de soutien pétrolier varient fortement, d’un seul militaire jusqu’à plus de 100 personnes comme lors du début de l’opération « Serval » au Mali en 2013.
Le SEA bénéficie d’une expertise technique reconnue (4) mais son autonomie a eu pour effet de partiellement « décharger » le commandement des armées de la préoccupation de la sécurité énergétique. Paul Kaeser s’interroge ainsi sur les moyens d’une meilleure prise en compte de cette problématique au niveau stratégique. Il analyse enfin les conditions pour faire émerger des forces moins énergivores (malgré les spécificités militaires limitant parfois les économies d’énergie) (5) et plus généralement une nouvelle gouvernance de « l’énergie de Défense ».
A l’origine, le SEA était en charge de ravitailler toutes les forces militaires terrestres de la France. Il a par la suite également été chargé du soutien pétrolier des bases aériennes (en 1960) et de la flotte de la Marine (en 2010).
Sauf certaines exceptions : stations-services militaires des bases de Défense (gérées par le service du commissariat des armées), ravitaillements en vol ou sur porte-aéronefs, etc.
L’essence F-18 nécessaire aux drones Harfang doit par exemple souvent être acheminée directement depuis la raffinerie de la Mède en Provence.
L’ensemble des ingénieurs militaires du SEA ont suivi un an de formation au sein de l’IFP School.
La notion de sobriété énergétique est plus ou moins bien intégrée au sein des différentes armées : elle est essentielle dans la Marine ou pour les pilotes d’astronefs disposant de ressources limitées mais l’armée de Terre est encore fortement imprégnée « d’un vieux principe selon lequel l’intendance suivra », indique Paul Kaeser.
L’amour, le mal, la mort, la justice, la joie, la morale… : les philosophes ont pris la parole et la plume sur tout. Mais de leur propre discipline, qu’en ont-ils dit ? Comment la voient-ils ? À quoi leur sert la philosophie ?
L’anthologie Le goût de la philosophie tente de répondre à toutes ces questions, à paraître aux éditions Mercure de France.
La philosophie, ça sert …
À quoi sert la philosophie ? Si cette question était d’actualité en 1980, 39 ans plus tard, en pleine réforme du lycée et de l’enseignement, dont celui de la philosophie, elle l’est encore. Et le mieux, pour y répondre, est encore de se tourner vers les principaux intéressés : les philosophes, “ces gens un peu bizarres au langage si particulier” comme le dit Bernard Pivot… Et c’est bien ce qu’on trouve dans cette anthologie Le goût de la philosophie.
Qu’est-ce que la philosophie pour Aristote ? Comment en faire selon Sénèque ? Qu’est-ce que vivre sans philosophie, selon Descartes ? À quoi ressemble le fait de philosopher selon Bergson ? Ou encore qu’est-ce que Rousseau a apporté à Kant et Simone Weil à Albert Camus ?
Ce sont quelques-uns des textes que vous pouvez y découvrir, vous saurez ainsi que la philosophie commence par l’étonnement, qu’il faut s’y consacrer complètement, que ne pas philosopher, c’est avoir les yeux fermés, mais que le faire est un acte simple, et qu’enfin, Rousseau permet d’être sur le droit chemin et que la solitude de Simone Weil n’était pas sans espoir… Je vous laisse attribuer à chaque auteur ces réflexions…
Mais cela suffit-il à dire à quoi sert la philosophie ? C’est le premier problème, et c’est Jankélévitch qui l’avait soulevé, justement dans cette émission de 1980, voici ce qu’il répondait à la question posée :
… à rien ! …
La philosophie, ça ne sert à rien… On pourrait y voir une réponse de philosophe, qui déconstruit la question pour ne pas y répondre. Et c’est vrai que cette réponse est séduisante, que l’on est tenté de le croire : je ne lis pas un livre de philosophie pour penser, je n’écoute pas tel penseur pour avoir une idée ou pour réussir une réflexion, comme je me servirais d’un mixeur pour réussir ma purée.
Et pourtant, force est de reconnaître que beaucoup des textes de cette anthologie révèlent une utilité de la philosophie : pour Marc Aurèle, seule la philosophie permet de nous guider au milieu des écueils de l’existence ; pour Voltaire, elle est un remède au fanatisme ; ou pour Sartre et Beauvoir, elle est ce qui nous dévoile le monde et permet d’y cheminer. Plus intéressant, encore, Rousseau pour qui la philosophie est comme un magasin d’idées, comme si pour le coup elle nous permettait de réussir à penser, à s’instruire.
Dans la suite de l’entretien avec Pivot, Jankélévitch dit que la philosophie ne sert à rien, mais qu’elle suppose en revanche une pratique : elle se fait, plutôt qu’elle ne se dit. Si elle a donc bien une utilité, sans relever pour autant de l’utilitarisme, de l’instrument pur, c’est parce qu’elle se pratique, elle ne sert pas à obtenir un bien précis, mais à quelque chose de beaucoup plus fondamental pour soi et d’en même temps très quotidien : la critique…
… mais ça se pratique.
Philosopher ne sert à rien, mais ça se fait et ça se pratique, de fait, tout le temps, même quand on le conteste. Ainsi, ce n’est pas l’acte de philosopher qui doit être questionné, en se demandant à quoi il sert, mais plutôt l’existence de ces textes mêmes qui font parler la philosophie et en montrent l’utilité. À quoi ça sert de parler de philosophie quand on est philosophe ? N’est-on pas déjà convaincu de sa nécessité ? Qui cherche-t-on à convaincre ? C’est une autre question… tout aussi utile.
Tous les extraits sont issus de l’émission Apostrophes, Antenne 2, 1980
Jeu mathématique : quel est le poids du bouchon ? Par Hervé LEHNING, Normalien et agrégé de mathématiques.
Derrière une énigme mathématique se cache souvent une question mathématique plus ou moins profonde, la question posée en étant un habillage. Il en va ainsi des équations du premier degré.
Question N° 1 – Un père a 30 ans de plus que son fils, à eux deux ils ont 36 ans, quel est l’âge du fils ?
Question N° 2 – Avec son bouchon, une bouteille pèse 110 grammes. La bouteille pèse 100 grammes de plus que le bouchon. Quel est le poids du bouchon ?
Ces problèmes font des ravages, ils semblent si simples qu’on en oublie de réfléchir : on se piège soi-même et on répond faux …
Éléments de réponse :
La réponse n° 1 concernant l’âge du fils n’est pas six ans.
De même, la réponse n° 2 concernant le poids du bouchon n’est pas 10 grammes, sinon la bouteille pèserait 100 grammes de plus, soit 110 grammes et la bouteille bouchée 120 grammes.
On peut trouver ce résultat directement par l’algèbre.
En notant xle poids du bouchon et y celui de la bouteille, on a donc y = 100 + x. Celui de la bouteille bouchée : (x + y) = x + (100 + x) = 100 + 2 x = 110, ce qui fournit « x ».
La même équation permet de résoudre les deux problèmes et bien d’autres.
En fait, nos deux énigmes sont un habillage d’une même question mathématique concernant les équations du premier degré.
Utilisez le champ commentaire pour proposer vos réponses.
Alors jeune sergent, j’ai été appelé un jour avec mes camarades chefs de groupe de combat d’infanterie par mon chef. Le discours fut bref :
Qu’est-ce que vous glandez ?
On attend vos ordres, mon adjudant !
Je ne donne pas d’ordres mais des missions à remplir, et quand je n’en donne pas, il y en a une qui s’applique automatiquement : maintenir et si possible renforcer vos compétences et celle de vos hommes.
Donc si je ne dis rien, je dois vous voir en train de courir, ramper, manœuvrer, tirer, nettoyer vos armes, apprendre des trucs.
Dès que j’ai une mission à vous donner, en général parce qu’en j’ai reçu une moi-même, tout s’arrête et on bascule sur un objectif plus précis à atteindre.
Le voile s’est alors déchiré devant mes yeux novices.
Stéphane Marcireau, le philosophe joueur derrière Philodéfi
Par Denis Peiron, La Croix, le 29/08/2019 à 11:53
Le savoir en partage (4/5). Ce professeur de Poitiers a créé un jeu pour aider les élèves à apprendre la philosophie en tirant profit des intelligences multiples. Une démarche ludique couronnée de succès.
Stéphane Marcireau, professeur de philosophie, photographié dans son lycée, L’Union Chrétienne, à Poitiers (Vienne) le 9 juillet 2019.
Il a crée « Philodéfi » jeux de cartes pour apprendre la philosophie en s’amusant.
Photos Claude Pauquet pour La Croix.
Quand il a commencé à enseigner la philosophie, il y a un petit quart de siècle, Stéphane Marcireau se préoccupait avant tout de gérer son planning, de boucler son programme. Dans son lycée catholique du centre-ville de Poitiers, il pouvait encore se permettre de donner des cours à l’ancienne, dans une logique de transmission verticale, de maître à élève. Mais les ans ont passé et la jeunesse a changé. Les aspirations ont évolué. Et surtout, à l’heure de l’instantanéité numérique, les capacités de concentration ne sont plus ce qu’elles étaient.
Comment relever le défi ? Il y a quelques années, Stéphane Marcireau s’est souvenu d’une séance durant laquelle, se promenant entre les rangs tout en dictant son cours, il avait découvert les dessins que faisait Louise, l’une de ses meilleures élèves, en marge de ses notes :
Elle avait représenté l’animal-machine cher à René Descartes. Sur sa feuille, on apercevait le philosophe en train de soulever la peau de son cheval, dont on découvrait alors la mécanique. En quelques traits, elle avait résumé cette théorie cartésienne pour mieux la fixer dans son esprit : l’animal n’est qu’une machine, avec des tuyaux, des ressorts.
Le mercredi 28 août 2019, Paul MORIN a représenté Bernadette GRIGNON à la cérémonie de départ du général ALVAREZ et à la prise de commandement du général de brigade aérienne Alain BOULLET, promu à la tête des écoles de Rochefort et commandant de la BA 721.
Le général Manuel-Feliciano ALVAREZ, rejoint la DRHAA comme n°2.
Le général BOULLET est également commandant de la base de défense Rochefort-Cognac et délégué militaire départemental de la Charente-Maritime.
À cette occasion, Paul MORIN a pu établir un contact avec le nouveau chef de cabinet du général et solliciter un rendez-vous pour préparer les lundis de l’IHEDN.