Chères amies, chers amis, Je sacrifie une fois encore à la tradition. Je remercie tout d’abord tous ceux qui se sont déjà exécutés dans le respect des usages C’est avec grand plaisir que je viens présenter au comité Aunis-Saintonge, dans sa plénitude, tous mes souhaits de Joyeux Noël et de Bonne et Heureuse Année 2020. Que cette année nouvelle soit pour vous emplie de tout ce que vous souhaitez de meilleur. En faire la liste serait trop long. Mais le cœur y est. […] que cette année voit notre victoire dans tout ce que nous entreprendrons et le maintien de notre amitié et de notre cohésion. Avec toutes mes amitiés. Philippe MOUNIER
Amis lecteurs, je vous remercie pour votre fidélité et vous souhaite de bonnes et saintes fêtes de Noël en famille !
Tableau de la Nativité attribué à l’école de Poussin, placé au centre du retable de l’église du Poiré-sur-Velluire (Vendée), chef-d’œuvre baroque daté de 1654.
Poème du capitaine Clément Frison-Roche Mort pour la France au Mali le 25 novembre 2019
Le capitaine Clément Frison-Roche, scout, saint-cyrien et père, est mort à 27 ans en opération au Mali, alors qu’il était aux commandes de son hélicoptère Tigre.
Le vendredi 18 octobre à 17 heures dans la salle de la mairie de la Flotte-en-Ré et en présence de Léon Gendre maire de la commune,
Michel Roussin, Commandeur de la Légion d’honneur et ancien ministre a remis les insignes d’Officier de l’ordre national du Mérite à Jean-Marc Brault de Bournonville.
Discours de Bernadette lors de sa fin de mandat de vice-présidente en charge du comité Aunis-Saintonge (17).
Quelques considérations non intempestives pour répondre à quelques interrogations.
« Qu’est-ce
qu’on t’a fait ? » s’exclama notre ami Jacques Tabary, à
l’annonce de ma démission, véritable cri du cœur exprimant ainsi le désarroi
silencieux de ses camarades qui ne semblaient pas avoir pris au sérieux les
« prémic/sses » (dans tous les sens du terme) de mon retrait
de la fonction de vice-présidente ayant en charge le Comité Aunis-Saintonge,
comme se plaît à le nommer notre éminence grise, Philippe Mounier, si féru
d’histoire…
Cette
présidence, je l’ai acceptée en
octobre 2011, dans le contexte tragique de la mort de Pierre-Philippe Feyzeau,
au moment de ma prise de retraite de l’Éducation Nationale, prendre sa retraite ne signifiant pas pour
autant battre en retraite !
Je ne peux
donc pas m’exclamer comme
Jacques-Louis Keszler avec lequel je suis allée voir les étudiants d’EXCELIA à
La Rochelle (Groupe Sup de Co dont il a été le fondateur et nous y avons
travaillé de concert à l’époque) pour y présenter les Lundis de l’IHEDN :
« Nous retrouver ensemble à Sup de Co… c’est du Dumas !… 20 ans après !! »
parce
qu’en réalité, en ce
qui me concerne, trois mandats de présidente ne font que neuf ans… et nous ne
sommes même pas encore en 2020 !
Par contre je peux dire « 20 ans après »,
ayant fait la session régionale de Poitiers en 2000 avec Christophe (Royer), et
un certain nombre de nos amis de l’AR 18.
Devenir alors « auditeur » a officialisé
pour moi un engagement personnel qui, lui, remonte aux années 90, au sein du
Trinôme académique dont l’action s’inscrivait dans les valeurs civiques de la
République, et rayonnait en osmose avec l’AR 18.
C’est ce
sens du devoir, ce
respect des valeurs humanistes qui m’ont fait accepter la responsabilité de la
présidence en octobre 2011, m’inscrivant ainsi dans la succession de
Pierre-Philippe Feyzeau, Max Clicquot de Mentque, et même de Paul Guéneau dont
il ne faut pas oublier qu’il a fait vivre en son temps le comité, même si sa
modestie ne l’a pas conduit à le faire connaître. Ce fut du reste une belle
époque, bien avant 2000, où le comité qui n’était pas encore identifié comme
tel, rayonnait sur l’AR 18 par son travail interdépartemental auquel
participaient certains d’entre vous toujours présents, fidèles parmi les
fidèles : Alain Amat, Christian Beaudeau, Claude Boudesseul, Régis Hardy…
J’ai donc
pris la présidence dans l’urgence de la situation,
et surtout pas pour céder à la mode d’une parité dont la revendication
systématique me semble plutôt déshonorer la gent féminine, mais j’ai surtout accepté
parce que je savais pouvoir m’appuyer sans réserve sur Jean-Claude Rodriguez,
qui eût dû lui-même devenir président d’un comité dont il a été la véritable
cheville ouvrière…
Partagez donc avec moi l’émotion de savoir que je
pars sans regret, laissant à Paul Morin une responsabilité dont il a déjà
témoigné par son investissement personnel, au sein d’un comité qui bouillonne
d’idées et d’initiatives dont la dernière, et pas la moindre, est la création
du site Internet que l’on doit à Christian Chauvet et Jacques Tabary, tous deux
faisant entrer l’AR 18 de plain-pied dans le XXIème siècle.
Que cette réunion de ce soir soit donc un véritable « trait… d’union » … tiret du 6 « – » comme du 8 « _ » puisqu’il souligne l’arrivée du nouveau président : bienvenue Paul !
Bonjour. Merci à tous pour avoir contribué et participé au succès de la cérémonie en hommage à Bernadette qui s’est tenue hier soir lundi 23 septembre au cercle militaire de Rochefort. Vous trouverez la photo de groupe prise sur l’initiative de Jean-Michel CLÈRE. Merci aussi à celles et ceux qui ont contribué à cette réussite et qui, malheureusement, n’ont pu se libérer à cette occasion. Amitiés Paul Morin
Très chers Amis,
Je suis encore sous le coup de l’émotion qu’a provoquée la surprise de cette réunion, véritable cérémonie dont je reste encore toute esbaudie du secret de l’organisation et des honneurs auxquels j’ai eu droit.
Après ce bel hommage et ce magnifique cadeau qui témoigne de la résistance de la plume au clavier… un repas très convivial a permis de prolonger ces échanges animés par une amitié dont le témoignage en est la présence de Jean-Claude Duchet, accompagné du général Ménanteau et du président du comité 16, Dominique Faure. Nous devons à l’initiative du président de l’AR 18 la réduction à un prix symbolique de ce repas « amélioré », selon l’expression consacrée.
Notre nouveau président, Paul Morin, prenant début octobre quelques vacances bien méritées, je vous enverrai prochainement l’invitation à participer à notre réunion du lundi 21 octobre (qu’il présidera), dont l’ordre du jour reconduira en grande partie celui du 23 septembre.
En vous renouvelant mes remerciements très émus, croyez à la fidélité de mon engagement associatif et à la sincérité de mon amitié.
Catherine HERAULT nous informe du décès soudain de notre camarade Jacques SEGUIN du comité des Deux-Sèvres.
Jacques, qui était également membre du CODIR, était présent lors de notre réunion du 1er juin dernier et nous avait encore montré tout son engagement pour nos projets communs.
Dès que nous aurons des précisions sur ses obsèques, nous ne manquerons pas de vous tenir informés.
Une foule de Drapeaux (116), les plus hautes autorités : Préfet, Président du Conseil départemental, Maire, DMD des quatre départements et officiers de toutes armées, Présidents de nombreuses associations dont l’IHEDN très représentée par les membres du CODIR et l’IH 79, les Cadets de la défense, amis, anciens collègues, ont honoré la mémoire de Jacques Seguin pendant plus de deux heures hier en l’église Saint-Hilaire de Niort, en présence de ses petits enfants et enfants. Une très belle cérémonie pour un homme qui avait fait du devoir de mémoire et de l’engagement citoyen, sa raison d’être.
Catherine Hérault
Un Grand Monsieur nous a quitté.
Jacques Séguin, un combattant pour l’histoire, la mémoire et la citoyenneté. Décédé à 74 ans le 12 juillet 2019, Jacques Séguin était bien plus qu’un enseignant d’histoire et de géographie, il était un véritable hussard de la république. Né au printemps 1945 dans la région parisienne, il ne pouvait qu’être marqué du sceau de l’histoire. Certes, il a d’abord suivi une formation de géographe à Paris, mais il a ensuite enseigné l’histoire et la géographie dans les Deux-Sèvres, notamment au collège niortais Fontanes. Et l’histoire, il a toujours cherché à l’incarner, en faisant venir des témoins, en guidant ses élèves sur des lieux de mémoire, comme Verdun, le Struthof ou Oradour-sur-Glane, en réalisant des expositions, en participant à des concours pédagogiques… Avant la retraite, et encore plus après, il s’est impliqué corps et âme dans de très nombreuses associations, de l’association des professeurs d’histoire et de géographie (APHG), au niveau régional et national, jusqu’aux réservistes citoyens, en passant par des associations d’anciens combattants (UDAF et UNC), l’association des déportés, internés et familles de disparus (ADIF), l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale (IHEDN), le Conservatoire de la Résistance de Thouars, le musée du sous-officier de Saint-Maixent, ou encore la Fédération Jeunesse et Sports et Engagement. Association dont il était devenu secrétaire général national. À toutes ses implications associatives dans lesquelles il n’économisait ni son temps ni son énergie, il avait même ajouté celle de président des porte-drapeaux des Deux-Sèvres. 116 d’entre eux étaient présents à l’hommage rendu à Jacques Séguin à Niort par l’ensemble des associations. Ses obsèques ont eu lieu à Châtelaillon-Plage ou il a été inhumé.
Sur proposition de Jean Louis Lobstein vice-président de l’AR 18 et président du comité des Deux-Sèvres. Article rédigé par notre camarade Guy Brangier,
Capucine, Alexandre, Frédérique et Ariane, ses enfants et petits-enfants
Éliane GUTH, sa mère,
ainsi que toute la famille
ont la tristesse de vous faire part du décès de
Madame Monique PAPAZOGLOU née GUTH
Chevalier de l’Ordre National du Mérite.
La cérémonie religieuse sera célébrée le lundi 15 juillet 2019 à 10 heures 30 en l’église Saint Pierre de Sales de Marennes suivie de sa crémation dans l’intimité à Saintes.
La famille remercie par avance les personnes qui prendront part à sa peine en cette douloureuse circonstance.