Décès du Colonel Bernard ESCHBACH le 7 février 2022 (EA60-Ferrando – IHEDN-SR92)
Paul MORIN, président de l’AR-18, Michel ARNOULT, président du comité 17, Bernadette GRIGNON, Régis HARDY et Jacques TABARY y participaient pour témoigner par leur présence de la fidèle amitié qui unissait Bernard à tous les camarades du comité 17 le connaissant et n’ayant pu venir.
Une gerbe a été offerte à la famille en souvenir du comité 17 dont Bernard ESCHBACH était l’un des membres les plus anciens.
Les condoléances peuvent être adressées à son épouse : – 19 rue des Mouettes – Châtelaillon-Plage
Mes chers Camarades Auditeurs et Membres Associés de l’AR-18
Notre assemblée générale s’est déroulée le 26 juin 2021 à la salle auditorium du Palais des Congrès de Rochefort où nous avons été accueillis par le Général Alain GIORGIS, adjoint au maire, Monsieur Hervé BLANCHET. Chargé des questions de sécurité et des relations avec l’armée au sein du Conseil Municipal, le général de corps d’armée (2S) Alain GIORGIS est également auditeur de l’IHEDN et adhérent de notre association régionale.
Lors de cette assemblée générale, j’ai été élu président de notre association. C’est une lourde tâche que je vais exécuter avec cœur et courage. Je compte sur chacun pour m’accompagner en participant à nos activités afin que notre association continue à vivre. Pour me soutenir, je serai notamment accompagné par Maître Marc FIARD qui occupera les fonctions de Secrétaire Général et par le Général Christian CHAUVET qui sera notre nouveau trésorier.
Comme vous le savez, l’IHEDN et l’Union ont connu des difficultés cette année et l’année passée. Celles-ci ont provoqué des bouleversements notables. A ce jour, ces difficultés semblent être en passe d’être maîtrisées.
Personnellement, bien que très attentif à la situation parisienne, Je n’ai qu’un seul objectif, c’est d’assurer le développement de notre association régionale dans le respect des femmes et des hommes qui la composent. En ce sens, je soutiendrai pleinement les comités départementaux dans les actions qu’ils souhaitent développer. Pour me consacrer pleinement à ma tâche, je vais quitter mes fonctions de vice-président du Comité de Charente-Maritime.
Nous avons la chance d’appartenir à une association à dimension humaine, riche par la qualité et la diversité de ses membres. Soutenons-là tous ensemble par des actions lisibles qui seront l’expression des valeurs que nous partageons tous. Mes chers camarades, la situation de notre pays est grave, retrouvons tous le chemin de l’engagement.
Enfin, je tiens à rendre un hommage appuyé à Monsieur Jean Claude DUCHET pour son action à la présidence de notre association pendant de longues années. Son sens de l’humain a été la pierre d’angle de son action. Je tiens aussi à apporter toute ma reconnaissance à notre trésorier, Monsieur Daniel BIRON qui nous quitte pour raisons personnelles.
Poème du capitaine Clément Frison-Roche Mort pour la France au Mali le 25 novembre 2019
Le capitaine Clément Frison-Roche, scout, saint-cyrien et père, est mort à 27 ans en opération au Mali, alors qu’il était aux commandes de son hélicoptère Tigre.
Le vendredi 18 octobre à 17 heures dans la salle de la mairie de la Flotte-en-Ré et en présence de Léon Gendre maire de la commune,
Michel Roussin, Commandeur de la Légion d’honneur et ancien ministre a remis les insignes d’Officier de l’ordre national du Mérite à Jean-Marc Brault de Bournonville.
Discours de Bernadette lors de sa fin de mandat de vice-présidente en charge du comité Aunis-Saintonge (17).
Quelques considérations non intempestives pour répondre à quelques interrogations.
« Qu’est-ce
qu’on t’a fait ? » s’exclama notre ami Jacques Tabary, à
l’annonce de ma démission, véritable cri du cœur exprimant ainsi le désarroi
silencieux de ses camarades qui ne semblaient pas avoir pris au sérieux les
« prémic/sses » (dans tous les sens du terme) de mon retrait
de la fonction de vice-présidente ayant en charge le Comité Aunis-Saintonge,
comme se plaît à le nommer notre éminence grise, Philippe Mounier, si féru
d’histoire…
Cette
présidence, je l’ai acceptée en
octobre 2011, dans le contexte tragique de la mort de Pierre-Philippe Feyzeau,
au moment de ma prise de retraite de l’Éducation Nationale, prendre sa retraite ne signifiant pas pour
autant battre en retraite !
Je ne peux
donc pas m’exclamer comme
Jacques-Louis Keszler avec lequel je suis allée voir les étudiants d’EXCELIA à
La Rochelle (Groupe Sup de Co dont il a été le fondateur et nous y avons
travaillé de concert à l’époque) pour y présenter les Lundis de l’IHEDN :
« Nous retrouver ensemble à Sup de Co… c’est du Dumas !… 20 ans après !! »
parce
qu’en réalité, en ce
qui me concerne, trois mandats de présidente ne font que neuf ans… et nous ne
sommes même pas encore en 2020 !
Par contre je peux dire « 20 ans après »,
ayant fait la session régionale de Poitiers en 2000 avec Christophe (Royer), et
un certain nombre de nos amis de l’AR 18.
Devenir alors « auditeur » a officialisé
pour moi un engagement personnel qui, lui, remonte aux années 90, au sein du
Trinôme académique dont l’action s’inscrivait dans les valeurs civiques de la
République, et rayonnait en osmose avec l’AR 18.
C’est ce
sens du devoir, ce
respect des valeurs humanistes qui m’ont fait accepter la responsabilité de la
présidence en octobre 2011, m’inscrivant ainsi dans la succession de
Pierre-Philippe Feyzeau, Max Clicquot de Mentque, et même de Paul Guéneau dont
il ne faut pas oublier qu’il a fait vivre en son temps le comité, même si sa
modestie ne l’a pas conduit à le faire connaître. Ce fut du reste une belle
époque, bien avant 2000, où le comité qui n’était pas encore identifié comme
tel, rayonnait sur l’AR 18 par son travail interdépartemental auquel
participaient certains d’entre vous toujours présents, fidèles parmi les
fidèles : Alain Amat, Christian Beaudeau, Claude Boudesseul, Régis Hardy…
J’ai donc
pris la présidence dans l’urgence de la situation,
et surtout pas pour céder à la mode d’une parité dont la revendication
systématique me semble plutôt déshonorer la gent féminine, mais j’ai surtout accepté
parce que je savais pouvoir m’appuyer sans réserve sur Jean-Claude Rodriguez,
qui eût dû lui-même devenir président d’un comité dont il a été la véritable
cheville ouvrière…
Partagez donc avec moi l’émotion de savoir que je
pars sans regret, laissant à Paul Morin une responsabilité dont il a déjà
témoigné par son investissement personnel, au sein d’un comité qui bouillonne
d’idées et d’initiatives dont la dernière, et pas la moindre, est la création
du site Internet que l’on doit à Christian Chauvet et Jacques Tabary, tous deux
faisant entrer l’AR 18 de plain-pied dans le XXIème siècle.
Que cette réunion de ce soir soit donc un véritable « trait… d’union » … tiret du 6 « – » comme du 8 « _ » puisqu’il souligne l’arrivée du nouveau président : bienvenue Paul !
Je suis encore sous le coup de l’émotion qu’a provoquée la surprise de cette réunion, véritable cérémonie dont je reste encore toute esbaudie du secret de l’organisation et des honneurs auxquels j’ai eu droit.
Après ce bel hommage et ce magnifique cadeau qui témoigne de la résistance de la plume au clavier… un repas très convivial a permis de prolonger ces échanges animés par une amitié dont le témoignage en est la présence de Jean-Claude Duchet, accompagné du général Ménanteau et du président du comité 16, Dominique Faure. Nous devons à l’initiative du président de l’AR 18 la réduction à un prix symbolique de ce repas « amélioré », selon l’expression consacrée.
Notre nouveau président, Paul Morin, prenant début octobre quelques vacances bien méritées, je vous enverrai prochainement l’invitation à participer à notre réunion du lundi 21 octobre (qu’il présidera), dont l’ordre du jour reconduira en grande partie celui du 23 septembre.
En vous renouvelant mes remerciements très émus, croyez à la fidélité de mon engagement associatif et à la sincérité de mon amitié.
Catherine HERAULT nous informe du décès soudain de notre camarade Jacques SEGUIN du comité des Deux-Sèvres.
Jacques, qui était également membre du CODIR, était présent lors de notre réunion du 1er juin dernier et nous avait encore montré tout son engagement pour nos projets communs.
Dès que nous aurons des précisions sur ses obsèques, nous ne manquerons pas de vous tenir informés.
Capucine, Alexandre, Frédérique et Ariane, ses enfants et petits-enfants
Éliane GUTH, sa mère,
ainsi que toute la famille
ont la tristesse de vous faire part du décès de
Madame Monique PAPAZOGLOU née GUTH
Chevalier de l’Ordre National du Mérite.
La cérémonie religieuse sera célébrée le lundi 15 juillet 2019 à 10 heures 30 en l’église Saint Pierre de Sales de Marennes suivie de sa crémation dans l’intimité à Saintes.
La famille remercie par avance les personnes qui prendront part à sa peine en cette douloureuse circonstance.