Publié le par Christian CHAUVET
À lire en ligne ou à télécharger, les différentes conférences.
Publié le par Christian CHAUVET
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La réunion du mardi 21 février s’est tenue exceptionnellement à 17 h 45 dans les magnifiques locaux de l’amphithéâtre du musée de l’École de Médecine Navale de Rochefort (25 rue Amiral Meyer) à l’invitation de Charlotte DRAHÉ – Administratrice du Musée de la Marine & École de médecine navale.
© Aquarelle de Renée MOUNIER.
Résumé du livre du Général d’armée Pierre de Villiers. Par Decitre.
Il y a deux façons de voir la situation actuelle : soit se complaire dans le constat, il est vrai cruel et inquiétant ; soit surmonter ce dernier et chercher des solutions, faire confiance aux trésors de notre génie français. Vous, les jeunes, êtes l’avenir de la France. Vous êtes aujourd’hui en demande d’humanité et de fermeté, d’autorité et d’amour, d’exigence et de bienveillance. Vous cherchez votre équilibre, dans une société où les facteurs de déséquilibre se multiplient.
Il reste à canaliser vers de justes causes cette attente et cette soif d’idéal. Les plaintes soulagent, mais ne construisent rien de durable. Tout au long de son parcours militaire, le général Pierre de Villiers a eu à cœur de transmettre ; cinq années dans la vie civile n’ont fait qu’affermir son engagement pour la jeunesse, à laquelle il dédie ces lettres. Elles constituent une véritable profession de foi intellectuelle et morale. Une leçon qui résonne profondément en nous. Ces Paroles d’honneur ouvrent un chemin pour réapprendre à aimer la France et retrouver l’espérance. Après quarante-trois années d’une carrière militaire qui l’a conduit à devenir chef d’état-major des armées, le général Pierre de Villiers est président d’une société de conseil en stratégie. Il est l’auteur, aux éditions Fayard, de Servir (2017), Qu’est-ce qu’un chef ? (2018) puis L’équilibre est un courage (2020).
[1] https://www.decitre.fr/livres/paroles-d-honneur-9782213725352.html
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Synthèse de la Conférence prononcée par le Général d’armée Pierre de VILLIERS sur la jeunesse et la citoyenneté.
par Philippe MOUNIER – Auditeur du Comité Aunis-Saintonge
Ces idées peuvent paraître banales, mais elles ont été exprimées avec conviction, humour et brio. Elles nécessitent d’être rappelées.
I – Le monde actuel est instable et dangereux.
II – Les crises se multiplient.
Face à elles, il faut déterminer des points d’ancrage :
III – À développer chez les jeunes.
IV – Valeurs à partager.
V – Conclusion.
Faire confiance à la jeunesse et être optimiste.
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Analyse de la Conférence prononcée par le Général d’armée Pierre de VILLIERS sur la jeunesse et la citoyenneté.
par Jean-Marc BRAULT de BOURNONVILLE – Membre associé
L’intervention du Général Pierre de Villiers est centrée sur la jeunesse.
Il rappelle le besoin de l’autorité et qu’il en est un praticien.
Ce besoin d’autorité est d’autant plus nécessaire dans cette période troublée avec des réactions immédiates sans recul ni réflexion.
L’autorité peut aider la jeunesse à croire en l’avenir.
Le général rappelle qu’il est un praticien de l’autorité et qu’il s’est donné comme mission de transmettre ses valeurs et d’aider ses auditeurs, par ses réflexions, à devenir « des citoyens acteurs ».
Jeunesse et citoyenneté : apprendre à remettre la personne au cœur de la cité.
Son intervention se fera sur quatre points :
Pierre de Villiers développe certains sujets qui enrichissent cette situation tant anxiogène pour la jeunesse.
‒ Le terrorisme islamique radical qui vise à imposer un nouvel ordre mondial basé sur une idéologie mondiale et qui utilise comme moyen d’action une barbarie totale.
‒ Le retour des états-puissances : Russie, Chine, Turquie, Inde, Iran… qui développent des stratégies à long terme alors que nos démocraties n’ont pour seuls horizons que les échéances électorales. Ces mutations se produisent alors que nous assistons à des migrations massives et des désordres climatiques avec leurs conséquences sur les évolutions des sols ou sur l’eau.
‒ « Nous sommes à un point de bascule ! ». L’ordre international a changé depuis la chute du mur de Berlin, les organisations internationales sont impuissantes face à ces évolutions et les jeunes s’en inquiètent.
‒ Le Bilatéral ou le multilatéral.
On ne se parle plus, on zappe. Les événements se succèdent sur les réseaux sociaux. Les moyens modernes de communication sont une source d’exclusion pour les plus anciens. Il rappelle le proverbe afghan : Vous avez les montres, nous avons le temps ! ;
Télétravail, robotisation… Avec le risque de perversion de la technologie sur l’homme.
La mondialisation complexifie les prises de décisions et abolit les frontières.
« Finalement qui décide et que suis-je dans le processus ? ».
Un dysfonctionnement est perçu entre l’État et la Nation. La finance et le droit sont présents partout ! Les jeunes ne comprennent pas ce qui se passe, les racines et l’appartenance nationale se perdent ;
Le sens du collectif est perdu, « On ne se parle plus, on s’envoie des messages ».
L’individu est roi « Quel Monde laisse-t-on aux jeunes ? ».
« C’est le carburant de l’autorité… ne jamais mentir ».
Tout projet se conduit en quatre étapes :
« Quelle paix construire de l’autre côté de la crête ? ».
Des entreprises en croissance peuvent rapidement décroître. Un plan stratégique peut permettre d’évaluer les risques. Aujourd’hui, on vit dans le tout assurance, avec le principe de précaution. On s’interdit l’audace pourtant l’avenir appartient aux audacieux, dit-on ! Il faut savoir évaluer les risques pour les maîtriser.
« Et dans toute circonstance, prendre le temps de réfléchir ».
C’est un mot-clef. La relation enfants/parents/enseignants ne fonctionne pas ou plus !
« Notre pays est magnifique et aimable mais la France est devenue un gros mot. On n’aime plus la France ».
Importance de respecter les talents des jeunes, de redorer l’image des enseignants, de l’apprentissage et des métiers manuels.
« Il faut apprendre aux jeunes à devenir des chefs, et d’abord chef de soi-même ».
« C’est exigeant ! On fait ce que l’on dit ou ce que l’on pense ».
On doit être un exemple pour les autres.
On ne gagne pas que par l’intelligence. La passion et le cœur ne doivent pas être oubliés.
« Savoir être modeste et ne pas avoir toujours raison. Gardez de l’humour, éviter l’ironie mordante et entraîner les gens dans la joie ! ».
L’autorité est un service. En toutes circonstances, il faut apprendre à gérer les conflits. L’homme doit toujours être au centre de nos préoccupations. Il convient d’éviter que les décisions de nos gouvernants « fassent sauter les faibles ».
À ce titre, le confinement récent qui a contribué à isoler les gens a été catastrophique.
Le courage qui se décline en deux niveaux (le courage opposé à la lâcheté et celui du quotidien… au travail ou ailleurs).
L’important est de ne pas subir, de s’engager au service du collectif.
Le général rappelle sur le thème du courage le discours que prononça le 8 juin 1978 Alexandre Soljenitsyne devant des étudiants de Harvard sur « Le déclin du courage en Occident ».
Ne pas oublier l’escalier social (et pas l’ascenseur), et l’intérêt d’avoir réalisé soi-même les tâches que l’on commandera ensuite.
L’armée le permet encore mais plus l’entreprise, ni la fonction publique.
« Je suis traité comme tout le monde ».
Le général cite un jeune « Dans l’armée, j’ai trouvé une famille ! ».
« L’équipe de France de football a gagné la Coupe du monde de 1998 ». La cohésion s’organise par le parrainage, le binômage.
« Je ne savais pas que j’étais capable de … » ;
Le respect (source de fierté), la considération (source de la délégation), le respect mutuel.
Mot clef de la civilisation. Éviter les coups bas, se pardonner au lieu de s’insulter ; le pardon n’est pas l’oubli.
Le drapeau, la culture, notre langue, notre histoire, nos entreprises, notre gastronomie. Évitons la repentance !
L’Europe où les poupées s’emboîtent et ne s’opposent pas.
Trois conseils en guise de conclusion :
Outre le fait de savoir écouter les anciens qui ont de l’expérience !
1 ‒ Humanité : remettre la personne au centre de nos réflexions et décisions ;
2 ‒ Unité : il faut rassembler unir : le pardon, la bienveillance, la réconciliation, mettre les talents au service du collectif (le général cite les maréchaux Leclerc et de Lattre de Tassigny et leurs épopées), et laisser de côté les diviseurs ;
3 ‒ Espérance (contraire de la crainte de l’avenir, du pessimisme). Être fier d’être français et de réussir sa vie.
Le général de Villiers achève son propos par ces mots :
« Aimons notre jeunesse, elle nous le rendra !
La jeunesse a soif de grandeur, d’engagement
et pas de performance ».
Été 1964. Alors que les Beatles, Johnny Hallyday et Sheila s’im- posent comme les icônes musicales des baby-boomers et que Louis de Funès triomphe avec Le Gendarme de Saint-Tropez, un chantier passe inaperçu à La Rochelle. Des ouvriers s’attèlent à réaliser avec célérité le premier CES de la capitale de l’Aunis pour la rentrée scolaire à venir. Situé dans la ZUP de Mireuil, cet établissement du second degré prend le nom de collège Pierre Mendès France en 1985.
Dans une ville à coloration radicale, son histoire est indissociable de celle de la priorité. Construit en quatre mois dans le contexte de la réforme Fouchet, ce collège s’inscrit dans une zone que l’édile muni- cipal, Michel Crépeau, souhaite humaniser en priorité à partir de la décennie 1970. Suite à un incendie en 1994, sa reconstruction s’im- pose dans un temps circonscrit.
Sa singularité vient également de son classement et de sa pérennité en éducation prioritaire depuis 1981. Ce livre offre un angle d’observa- tion et d’analyse de la déclinaison, des réussites et des limites de cette politique à l’échelle d’une unité de base du système éducatif depuis quatre décennies. Il met en lumière la distorsion entre les principes d’émancipation, de méritocratie de l’école républicaine et une réa- lité plus nuancée, marquée par la reproduction d’inégalités sociospa- tiales au sein d’un appareil scolaire où la démocratisation reste encore inachevée.
Gérald Sim est docteur en histoire contemporaine de l’Université de Nantes et spécialiste des relations franco-américaines au XIXe siècle.
PROPOSITIONS POUR UNE SYNERGIE DU PARCOURS CIVIQUE
Par Bernadette Grignon ex-Vice-Présidente de l’AR-18
Responsable pour le comité 17 de l’AR-18 du rallye citoyen en Charente-Maritime
Première proposition.
Une idée que j’ai évoquée auprès de Paul Morin, président de l’AR-18, de Madame Le Pesant, Directrice de cabinet (Cabinet DASEN de Charente-Maritime) et du Lieutenant-colonel Xavier Ancelle, DMD – adjoint de la Charente-Maritime, à savoir celle d’un tee-shirt au logo national (c’est-à-dire le même) pour tous les élèves de tous les rallyes citoyens organisés par tous les Trinômes : cela irait dans le sens de l’exigence de l’esprit civique que l’Education nationale s’efforce d’inculquer aux élèves, et le rallye citoyen des Trinômes académiques devrait s’inscrire officiellement dans le « parcours civique » de formation à la citoyenneté, commencé dès l’école primaire et développer tout au long de la scolarité.
Il faudrait mettre sur ce tee-shirt les trois logos : Armée, Education nationale, IHEDN ; ce pourrait même faire l’objet d’un concours national auquel participeraient les élèves de l’option Arts plastiques.
Participer à ce concours pour le design du logo, porter ce tee-shirt au logo national ne pourraient que créer un esprit d’équipe « national » et donner ses lettres républicaines aux rallyes organisés par les Trinômes dont les actions, voire l’existence même, ne sont pas toujours bien connues, quand ce n’est pas tout simplement inconnues, dans les établissements scolaires de France.
Cette initiative irait dans le sens du dynamisme civique de l’Éducation Nationale lequel passe nécessairement par une information commune d’actions trop souvent ignorées des élèves comme des parents et, de manière paradoxale, dans le milieu même de l’Éducation Nationale.
Une preuve de ce que chacun œuvre dans son pré carré, sans communication suffisante de ces actions auprès de tout public, surtout scolaire, ressort encore du contenu de la visioconférence organisée par l’IRIS (Institut des Relations Internationales et Stratégiques) en partenariat avec Unéo, la mutuelle des forces armées, le 3 mai 2022 de 18h30 à 20h, dont le sujet était :
« Le lien armées-jeunesse : Quel rôle pour les armées dans la construction de la citoyenneté et de la cohésion nationale ? »
Allocutions d’ouverture :
Autour de :
Daniel MENAOUINE, Général de corps d’armée, directeur du service national et de la jeunesse qui faisait partie de la table ronde avec :
Animée par Gaspard SCHNITZLER, chercheur à l’IRIS.
Le but est louable :
Au cœur des priorités du ministère des Armées et partie intégrante du lien Armées-Nation, le lien Armées-Jeunesse revêt de multiples enjeux. La fin de la conscription au début des années 2000, remplacée par les Journées défense et citoyenneté (JDC) auxquelles participent chaque année près de 800 000 jeunes, a contraint les armées à repenser leur rôle social, et notamment leur façon de contribuer au renforcement de la cohésion nationale et à la mixité sociale. C’est le cas à travers des dispositifs d’insertion socio-professionnelle tels que le SMA depuis 1961 et le SMV depuis 2015, mais également par des actions menées en faveur de la jeunesse de façon plus large, tels que les « lycées de la défense », la plateforme « 1re expérience défense », ou encore par sa contribution au Service national universel (SNU), des dispositifs coordonnés depuis mars 2021 au sein de l’« Ambition armées-jeunesse » du ministère.
À l’heure où les forces armées sont mobilisées de façon accrue, que ce soit sur le territoire national ou en opérations extérieures, comment articuler leur mission première de protection du territoire et de la population, avec leur action en faveur de la jeunesse ? Quel est l’avenir du lien Armées-Jeunesse ?
L’échange a fait ressortir les préjugés que l’on trouve en France concernant ce que l’on peut appeler « la diplômite », le manque de considération des formations non universitaires, et surtout a témoigné du manque de coordination vraiment efficace de toutes ces actions dans un parcours civique national incluant :
Les Jeunes de l’HEDN, le SNU, la JDC, et la classe de Troisième (Voir l’annexe).
Deuxième proposition.
Le parcours civique, depuis le collège, devrait donc être présenté dans une plaquette (ou flyer) qui serait donnée dès la Troisième aux élèves pour les informer et leur expliquer les différentes étapes de ce parcours citoyen incluant les possibilités de participation à venir : JDC, SNU, Les Jeunes de l’IHEDN.
Les rallyes citoyens organisés par le Trinôme académique dans les départements devraient s’y trouver également.
Il devrait y avoir obligation pour le chef d’établissement de présenter le Trinôme académique et ses actions dans le discours inaugural de l’année scolaire à la rentrée de septembre, pour ne plus avoir à déplorer la méconnaissance de l’existence du Trinôme aussi bien auprès d’élèves que de leurs parents, comme de trop d’enseignants.
Troisième proposition.
Dans cet esprit de clarté et d’homogénéisation de l’ensemble des actions proposées, il faudrait apprendre aux élèves, dès la Quatrième, à faire leur C.V. pour les sensibiliser au monde professionnel dans lequel ils devront faire leur stage de Troisième, stage d’observation dont l’objectif est l’occasion de découvrir le monde du travail, partager le quotidien de professionnels, bénéficier d’une expérience concrète en se confrontant aux réalités concrètes du travail.
Le stage de Troisième :
Ce stage qui a pour but de permettre aux élèves de gagner en autonomie, de prendre confiance dans un nouvel environnement, d’enrichir leur culture générale citoyenne et, éventuellement, de confirmer un projet d’orientation personnel, devrait être relié au parcours civique.
La confiance en soi que cherche à faire acquérir artificiellement l’épreuve de rhétorique au baccalauréat, pourrait se forger en profondeur du collège au lycée, soutenue par une réflexion sur soi encadrée par un professeur compétent, dans le cadre du « parcours civique », et faire comprendre la valeur de l’émulation dans le respect de l’autre.
BILAN.
Le « parcours civique » devrait donc exprimer la synergie de ces activités spécifiques :
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ANNEXE
Les Jeunes IHEDN (anciennement l’Association nationale des Auditeurs jeunes de l’Institut des Hautes Études de Défense nationale – ANAJ-IHEDN en 1996) est une association loi de 1901, regroupant des jeunes, étudiants ou professionnels de 20 à 35 ans) ayant suivi une formation au sein de l’IHEDN, institut dépendant des services du Premier Ministre, ayant pour mission de promouvoir la réflexion sur les problématiques de défense nationale et les relations internationales.
Le Service national universel (SNU), programme mis en place par Édouard Philippe à partir de 2019 pour succéder indirectement au service militaire en France suspendu par Jacques Chirac depuis 1996 (cette décision prend effet avec la loi no 97-1019 du 28 octobre 1997), est un projet d’émancipation de la jeunesse, complémentaire de l’instruction obligatoire. Sa mise en œuvre poursuit les objectifs suivants :
Le Service national universel s’adresse à tous les jeunes de 15 à 17 ans pour une société de l’engagement, et s’articule en trois étapes clés :
La Journée Défense et Citoyenneté (JDC) dénommée jusqu’en 2011 Journée d’Appel de Préparation à la Défense (JAPD), est une journée d’appel instituée en 1997 en France dans le cadre de la réforme du service national portée par Jacques Chirac : l’objectif de la JDC est d’aborder différentes problématiques dont les principales sont la citoyenneté et les questions liées à la Défense. La JDC vise également à favoriser le recrutement dans les différentes armées et services du Ministère des Armées ou dans la réserve militaire.
La JDC est la troisième étape du parcours de citoyenneté obligatoire pour tous les jeunes de nationalité française :
Pour rappel, les modalités du stage de Troisième :
Rochefort organise le “Forum Défense et Sécurité”
les 6, 7 et 8 mai 2022.
Ce seront pas moins de 45 exposants des 3 armées (dont 23 régiments de l’armée de Terre !) et des forces de sécurité (Gendarmerie, police , pompiers….).
Les visiteurs pourrons découvrir notamment les capacités de nos armées au moment où résonnent les bruits de guerre en Ukraine.
En liaison avec les collèges et lycées, les élèves seront récupérés en bus le vendredi car il s’agit d’une journées d’information des métiers.
Il ya aura bien sûr des présentations de matériels, des simulateurs et des démonstrations notamment par la police et la Gendarmerie.
Voici le recto des affiches qui sont envoyées par internet et distribuées également.
Pour les amateurs, rendez vous sur site au musée de l’Aéronautique navale (à côté de l’école de Gendarmerie) du vendredi 6 au dimanche 8 Mai.
https://www.facebook.com/events/1341732436325238/?ref=newsfeed
https://www.anaman.fr/?fbclid=IwAR3NarArj9Uplt0Sx0TsxpwxlPgvnc27xlMYpfhviZLItI0pvi3rFnMqw04
Décès du Colonel Bernard ESCHBACH le 7 février 2022
(EA60-Ferrando – IHEDN-SR92)
Paul MORIN, président de l’AR-18, Michel ARNOULT, président du comité 17, Bernadette GRIGNON, Régis HARDY et Jacques TABARY y participaient pour témoigner par leur présence de la fidèle amitié qui unissait Bernard à tous les camarades du comité 17 le connaissant et n’ayant pu venir.
Une gerbe a été offerte à la famille en souvenir du comité 17 dont Bernard ESCHBACH était l’un des membres les plus anciens.
Les condoléances peuvent être adressées à son épouse :
– 19 rue des Mouettes – Châtelaillon-Plage
Bernadette GRIGNON
Chères amies, chers amis du comité Aunis-Saintonge,
“La tradition est le ciment des Nations croulantes” disait le Titi, mon prof de maths au Prytanée, il y a trois fois trente-trois ans. Alors, je n’hésite pas à cimenter.
Ces quelques fleurs, aquarellées par mon épouse, m’aident à vous présenter, avec optimisme, mes meilleurs vœux de Saint et Joyeux Noël 2021 et de Bonne et Heureuse Année 2022, pour vous-même et tous ceux qui vous sont chers.
Puisse cette nouvelle année vous maintenir en pleine forme physique, intellectuelle et morale.
Je n’en dirai pas plus, je pense que nous nous comprenons.
Avec toutes mes amitiés.
Philippe MOUNIER
Cher Président,
Dans mon courriel du 24 juin envoyé au président Jean-Claude Duchet et aux membres du bureau de l’AR-18, j’écrivais que « N’étant pas présente à l’AG du 26 juin 2021, au cours de laquelle seront constatés la fin de mon mandat » -au sein du comité directeur- « et mon désir de ne pas le renouveler, je souhaite que tu fasses part à cette assemblée générale du maintien de mon intérêt pour la suite des activités de l’AR 18 (…). » C’est dans cet état d’esprit positif que je te livre le résultat de ma réflexion face au tournant que prend notre association dans le contexte actuel.
L’AR 18 compte actuellement une centaine de membres répartis dans quatre comités dont le dynamisme diffère selon les départements : or ces comités n’ont pas de statut associatif, seule l’Association régionale a ce statut.
Il y aurait donc intérêt à faire participer tous les membres de l’AR-18 aux travaux des groupes départem entaux et à tous les échanges qu’ils occasionnent, même ceux qui circulent entre membres d’un groupe travaillant sur une étude spécifique, nationale ou locale : les échanges au niveau régional seraient certainement plus fructueux que ce qui est permis par la fragmentation départementale actuelle, et les « bonne idées » circuleraient ainsi efficacement.
Sachant que lorsque les membres d’un organisme, surtout les plus petits ne sont pas irrigués, ils se dessèchent, je crois tout aussi bénéfique que l’ordre du jour d’un comité soit envoyé, comme le compte rendu de sa réunion, à tous les membres de l’AR-18 qui en seront ainsi informés.
L’AR-18 ne pourra rayonner que si tous ses membres se sentent concernés quelle que soit leur possibilité de participer à ses activités et à ses travaux.
Ne pouvant le faire moi-même faute de connaître les coordonnées de tous les membres de l’AR 18, je demande par la présente à Marc Fiard, secrétaire général, d’assurer la diffusion de cette Lettre ouverte.
Je souhaite également que Christian Chauvet publie cette Lettre ouverte sur le site de l’AR-18.
Bernadette GRIGNON – Le 10 septembre 2021