Les nouvelles capacités de surveillance à très longue portée

Dans son numéro N° 2684 du 17 avril 2020, la revue « Air & Cosmos » présente un dossier très intéressant sur les différents types de radar à très longue portée mis en oeuvre par la Russie, la Chine et l’Iran.

Si l’origine de certaines perturbations n’est pas encore identifiée, les radio-amateurs comprendront pourquoi une partie des fréquences de la bande qui leur est octroyée sont brouillées.

Ce document est un peu technique mais la conclusion ouvre un large champ de réflexions.

Alain BELLANGER

Sylvie BERMANN, Présidente du conseil d’administration de l’IHEDN

Par décret du Président de la République en date du 24 janvier 2020, Mme Sylvie BERMANN, ambassadrice de France, est nommée présidente du conseil d’administration de l’Institut des hautes études de la défense nationale. [JORF n°0022 du 26 janvier 2020 – texte n° 25]

© Par Ambassade de France en Chine — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=33368044

Biographie sommaire.

Sylvie-Agnès BERMANN, née le 19 octobre 1953 à Salins-les-Bains (Jura), est une diplomate française de carrière après sa réussite au Grand Concours d’entrée au Quai d’Orsay. Elle est la première femme à avoir été nommée ambassadrice extraordinaire et plénipotentiaire de la République française dans un pays membre permanent du Conseil de Sécurité (Chine, 2011).

Par décret du Président de la République du 19 juin 2019, à la suite de la décision prise la veille en Conseil des ministres, Mme Sylvie BERMANN, ministre plénipotentiaire hors classe, est élevée à la dignité d’ambassadrice de France. [JORF n°0141 du 20 juin 2019 – texte n° 53]
Elle est ainsi la première femme à accéder à la dignité d’État d’ambassadeur de France. Il convient donc d’adapter désormais le vocabulaire en parlant de Madame l’Ambassadrice de France … tout comme celle de Maréchal de France ou d’Amiral de France.

Madame Sylvie BERMANN a occupé précédemment en qualité d’ambassadrice extraordinaire et plénipotentiaire des postes comptant parmi les plus importants du réseau diplomatique de la France :
– Pékin, Chine (2011-2014)
– Londres, Royaume-Uni (2014-2017)
– Moscou, Fédération de Russie (2017-2019), d’ou elle fait valoir ses droits à la retraite.

Décorations honorifiques :
– Officier de la Légion d’honneur
– Commandeur de l’ordre national du Mérite

Sylvie BERMANN a publié en 2017 aux éditions Stock, un excellent ouvrage sur les années qu’elle a passées en Chine dans plusieurs postes différents, pays dont elle est une grande spécialiste : La Chine en eaux profondes.

Pour compléter votre lecture :
L’ambassadrice Sylvie Bermann a la Chine au coeur
L’ambassadrice de France à Londres, Sylvie Bermann
Sylvie Bermann, nouvelle ambassadrice de France en Russie ?
La nouvelle ambassadrice Sylvie Bermann se confie sur sa relation avec la Russie
Sylvie Bermann, première ambassadrice de France

© http://observatoire-de-la-diplomatie.com/sylvie-bermann-premiere-ambassadrice-dignitaire/
© https://www.linkedin.com/in/sylvie-bermann-372934197/

Le SNU en 2019

Le Service national universel (SNU) s’adresse, après la classe de 3e, aux jeunes filles et garçons âgés de 15 à 16 ans. Il comporte obligatoirement une phase de cohésion, en hébergement collectif et hors de son département de résidence de deux semaines et une mission d’intérêt général auprès d’une association, d’une collectivité, d’une structure publique ou d’un corps en uniforme, de deux semaines également. Chaque jeune peut ensuite poursuivre une période d’engagement de trois mois minimum. 

Les débuts du service national universel. Cette année 2 000 jeunes ont expérimenté le SNU dans 13 départements.

Du 16 au 28 juin 2019 a eu lieu la phase de préfiguration du service national universel (SNU). 2 000 volontaires âgés de 15 à 16 ans ont été retenus parmi 4 000 candidats.

C’est un signe que le SNU répond à une attente de la part des jeunes et de leurs familles en quête d’un moment républicain d’engagement et de cohésion.

Ces volontaires sont issus d’horizons différents et sont représentatifs de la jeunesse de France, y compris de celle en situation de handicap. Ils ont vécu deux semaines dans un centre d’hébergement collectif.

Ils ont bénéficié alors de bilans personnels de santé, d’évaluations de la maîtrise de la langue française et de bilans de compétences, notamment numériques.

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Le Service national universel (SNU).

Le Service national universel (SNU) proposera aux jeunes Français, filles et garçons, un moment de cohésion visant à recréer le socle d’un creuset républicain et transmettre le goût de l’engagement.

LES OBJECTIFS DU SERVICE NATIONAL UNIVERSEL

La mise en place d’un Service national universel (SNU) vise à impliquer davantage la jeunesse française dans la vie de la Nation, promouvoir la notion d’engagement et favoriser un sentiment d’unité nationale autour de valeurs communes.

Le groupe de travail sur le SNU a proposé un dispositif opérationnel soumis à l’arbitrage des pouvoirs publics. Il indique l’ensemble des éléments clés nécessaires et trace le chemin qui pourrait conduire à ce déploiement.

Le SNU n’est pas le rétablissement du service militaire, suspendu en 1997.

Les objectifs assignés au SNU sont au nombre de trois :

  • Cohésion sociale et territoriale ;
  • Prise de conscience, par chaque génération, des enjeux de la défense et de la sécurité nationale ;
  • Développement de la culture de l’engagement.

Le SNU doit favoriser le brassage social et territorial et permettre à chaque jeune d’être acteur de sa citoyenneté.

Il s’agit de construire un projet de société qui vise à la transformer en impliquant les jeunes générations. Ces dernières seront à la fois les bénéficiaires et, en partie, les organisateurs de ce projet.

Sa conception devra donc être collective. Une large place devra être accordée à l’innovation pour rendre ce dispositif attractif, et qu’il puisse donner lieu à une réelle reconnaissance de l’engagement.

Il ne saurait, enfin, être question de définir un parcours rigide et obligatoire, qui ne répondrait ni aux objectifs des pouvoirs publics ni aux attentes de la jeunesse.

LES GRANDS PRINCIPES DU SERVICE NATIONAL UNIVERSEL

Le Gouvernement a validé les grands principes d’architecture proposés par le groupe de travail, et notamment son organisation en deux phases distinctes.

La première phase du SNU, dans le prolongement de l’obligation scolaire, constituera l’aboutissement du parcours citoyen, débuté à l’école primaire et poursuivi au collège. Effectuée aux alentours de 16 ans, elle sera d’une durée d’un mois maximum et comportera une période d’hébergement collectif.

Vécue par une classe d’âge entière quels qu’en soient l’origine, le sexe, le milieu ou le territoire, cette phase comprendra une occasion de vie collective permettant à chaque jeune de créer des liens nouveaux, d’apprendre une façon neuve de vivre en commun, de développer sa culture d’engagement pour affermir sa place et son rôle au sein de la société. Elle sera aussi l’occasion de détecter les difficultés de certains jeunes (lecture, santé, insertion, etc.) et d’y remédier par une orientation vers les dispositifs adaptés.

Dans un second temps, chaque jeune sera encouragé, notamment par des mesures d’attractivité variées et ciblées, à poursuivre volontairement une période d’engagement d’une durée d’au moins trois mois, liée à la défense et la sécurité (engagement volontaire dans les armées, la police, la gendarmerie, les pompiers, la sécurité civile), à l’accompagnement des personnes, à la préservation du patrimoine ou de l’environnement ou encore au tutorat, sans que cette liste soit limitative. L’offre des différentes opportunités d’engagements, civils ou militaires, intégrera les volontariats existants et des propositions nouvelles, y compris celles qui émaneront des jeuneseux-mêmes. À titre d’exemple, l’actuel service civique sera l’un des moyens d’accomplir cette seconde phase du SNU.

INJEP. Évaluation de la phase de préfiguration du Service national universel Premiers enseignements des séjours de cohésion de juin 2019.

Autre documentation :

© Gouvernement.fr

Pour que vive la France

Poème du capitaine Clément Frison-Roche
Mort pour la France au Mali
le 25 novembre 2019

Le capitaine Clément Frison-Roche, scout, saint-cyrien et père, est mort à 27 ans en opération au Mali, alors qu’il était aux commandes de son hélicoptère Tigre.

Le capitaine Clément FRISON-ROCHE, tombé au Mali la semaine dernière, pris avec sa fille avant son départ au Mali, n’avait il pas eu un pressentiment, lorsque saint-cyrien, il composa ce poème poignant.
Les treize militaires morts le lundi soir 25 novembre 2019 dans la collision de deux hélicoptères de l’opération Barkhane conduite au Mali. © Armée de terre.

Organisation Union-IHEDN

Chers amis,

Je viens de relire les statuts et règlement intérieur de la SMLH. C’est édifiant et instructif. Pour une fois un haut fonctionnaire peut avoir raison. 

SMLH : Statuts et Règlement

En effet, il devient évident de prendre cette organisation comme modèle :

  • Une seule association nationale, celle des auditeurs, comprenant aussi des membres associés, au lieu de 43.

Afin de participer aux débats en cours concernant l’organisation de l’Union-IHEDN, je vous propose la grille de lecture suivante.

I – Constat – Organisation actuelle = 43 associations

  • 4 associations nationales 
  • 32 associations régionales : AR-IHEDN
  • 7 associations internationales et thématiques

II – Objectifs à atteindre – Points clés :

  • Diminuer le nombre d’associations régionales.
  • Avoir un acteur au niveau du préfet et du recteur de région.
  • Se recentrer sur les enjeux de défense.
  • Faire moderne et s’ouvrir davantage sur la société civile : Parité – Égalité – Diversité.
  • Création d’une Réserve citoyenne IHEDN.
  • Mise en avant et autonomie du niveau départemental.

III – Organisations possibles :

1 – Le Statu quo = La solution AR-1

  • Laisser en l’état les périmètres et l’organisation des AR.
  • Le département est la base du fonctionnement, avec un responsable par comité.
  • Le Président de l’AR-1 prend en charge les relations avec les instances qui pilotent la région (Préfet, Recteur, Président du Conseil régional, OGZD).
  • Création de projets et de forums « Nouvelle-Aquitaine » pour « montrer que l’on sait travailler ensemble ».

2 – Organisation régionale :

  • Fusionner les AR de Nouvelle-Aquitaine en une seule association régionale (en conservant l’appellation AR-1 pour une meilleure lisibilité).
  • Créer des comités départementaux ayant une large autonomie avec un bureau.
  • Chaque comité départemental ayant un ou plusieurs administrateurs de l’association régionale en fonction de ses effectifs. Par exemple, un administrateur par tranche de dix adhérents, au minimum un administrateur. Concernant le comité Aunis-Saintonge, trois administrateurs. 
  • Le représentant régional auprès des instances officielles devenant le coordinateur pour les actions régionales.

3 – Organisation centralisée type Jeunes IHEDN ou SMLH.

Une seule association nationale, sur le modèle des Jeunes IHEDN ou de la SMLH, celle des auditeurs comprenant aussi des membres associés et non plus une fédération d’associations.

  • Niveau local : Comités départementaux, disposant d’une organisation autonome avec un bureau dont un trésorier.

Le comité départemental étant la cheville ouvrière de base avec le Préfet départemental comme interlocuteur et participant aux actions locales : 

  1. Rallyes citoyens en liaison avec le Trinôme académique donc le Recteur.
  2. SNU au niveau du centre de gestion départemental en liaison avec le DASEN, donc, encore la structure préfectorale.
  3. Information Défense des élus en appui au DMD, donc toujours le préfet du département.
  4. […]
  • Niveau régional : le comité départemental au siège d’une région prend l’appellation de comité régional ou délégation régionale. Pas de liens hiérarchiques avec les comités départementaux, seulement une coordination des activités de niveau régional. 

  • Niveau central : le siège de l’Union.

Amitiés. 

Christian

Retour sur le poison intellectuel français

Par François TORRESGénéral (2s)

Le pamphlet de Michel Onfray récemment transmis par Jean-Pierre Soyard rappelle que nos élites progressistes sont atteintes d’un poison frisant la perte de l’instinct de survie. En le lisant m’est venue l’idée de revisiter les racines des toxines intellectuelles qui nous hantent depuis la fin de la 2ème guerre mondiale.

Ce qui suit est un modeste appel à la vigilance et au bon sens. Passant en revue les arguments et les armes de la résistance aux complaintes moralisatrices des « pleureuses », il incite à « ne rien lâcher ».

La maladie de la pensée occidentale prend sa source, entre autres, dans les théories de la « déconstruction » du philosophe nazi allemand Heidegger.

Elles furent le prêt à penser depuis les années 60 d’une nébuleuse proto-intellectuelle englobant les « bobos » soixante-huitards, les « pédagogistes » de l’éducation nationale, les « relativistes » moralisateurs de l’École des Hautes Etudes des sciences sociales de la Rue d’Ulm et de Sciences Po, les adeptes de la repentance, et les défenseurs dogmatiques des minorités face à la majorité.

Mais la liste n’est pas close – on pourrait y rajouter ceux des enseignants qui à l’école font, par démagogie, croire à leurs élèves que le « rapp » peut être placé au même niveau que le « Triple Concerto » de Beethoven ou les symphonies de Tchaïkovski et que les onomatopées hocquetantes des « gentils rappeurs » dont les textes sont assez souvent des insultes contre la France, sont tout à fait aussi estimables que « Casta Diva » chanté par La Callas.

Tout ce beau monde mettait et ment encore en œuvre les « vertus chrétiennes devenues folles » pour qui le héros est toujours l’autre, le démuni, le migrant, le sans-logis, le colonisé, le noir, l’infirme, le métis etc….En revanche dans ce monde entré en mouvement où, comme dit Bellamy, le « flux prend la place de l’être », le coupable est le sédentaire attaché à sa terre, le conservateur soucieux de préserver la longue culture qui le porte, son histoire, bonne ou mauvaise, ses traditions et ses racines.

Née en Allemagne après la guerre dans la tête d’un philosophe prolixe et difficile à lire qui, pour se dédouaner de ses très honteux errements nazis, imagina d’en attribuer la responsabilité non pas à lui-même, mais à la « toxicité » de la civilisation occidentale. A cet effet il s’est appliquée à analyser – « déconstruire » – ses fondements pour mettre à jour ses « vices » s’exonérant ainsi de la responsabilité personnelle d’avoir cautionné – un comble pour philosophe – une des plus grands crimes de l’histoire des hommes.

Sa pensée « déconstructrice » a ainsi irrigué en France la pensée de Deleuze, Foucault, Derrida. Exportée aux États-Unis dans les années 50 sous le nom de « French Theory » elle fut, après les deux explosions nucléaires d’Hiroshima et Nagasaki, à l’origine du « nihilo-mondialisme » américain, à la source de la « Beat Generation » (« Beat », dans le sens de « abattu », « épuisé »…).

Considérant que l’existence humaine est vide de sens, la pensée qui prône la destruction suicidaire de la civilisation et de la morale, s’est, par un étonnant retour de l’histoire, invitée chez nous en 1968, se parant du manteau festif et trompeur de la révolution permanente.

Pour tenter de comprendre le lien entre le poison intellectuel français et la « déconstruction » de Heidegger et de ses disciples français, un bref retour sur la pensée de Deleuze, Foucault et Derrida pourrait être utile. J’emprunte ce qui suit à Yannick Jaffré, anthropologue, spécialiste de l’Afrique de l’ouest, directeur de recherche au CNRS à l’Unité environnement, santé, société.

La pensée de Deleuze porte la pensée préférentielle du « flux », du « nomadisme et de la déterritorialisation ». Elle se retrouve aujourd’hui dans la « financiarisation apatride » et dans l’esprit de nos jeunes français des banlieues rejetant l’enracinement aux valeurs de la République. Son relativisme de la non appartenance « dissout l’identité et avec elle la souveraineté politique. » (…) « Sa pensée offre l’aspect d’une sorte d’anarcho-naturalisme artiste qui, par constitution, supporte très mal l’épreuve historique. Ne comprenant l’histoire européenne qu’à travers ses grandes œuvres culturelles, il l’ignore superbement comme destin civilisationnel. Pour ceux qui font de ce destin leur combat, Deleuze n’offre que des armes piégées. »

Foucault fut le théoricien brillant et adulé de la défense sociale des « marges », y compris « des déments, des criminels et des parricides » en même temps que le contempteur des États et des institutions qui en émanent. Ses attaques contre la société hiérarchisée, appuyée par sa « répugnance de l’État » utilisait toutes les armes possibles porteuses de chaos ou de remise en question, « depuis le maoïsme jusqu’aux droits de l’homme en passant par la révolution iranienne ».

Quant à Derrida qui se place clairement dans le sillage de Heidegger, il fut le « déconstructeur » de la pensée logique d’Aristote « passant avec acharnement au rouleau compresseur ses critères d’analyse » en démontant consciencieusement, mais sans les remplacer par rien, les 4 cause d’Aristote – « Cause matérielle » (De quoi s’agit-il ?) , « Cause formelle » (Quelle en est la forme ?) , « Cause efficiente » (Quel en est le moteur ?) et « Cause finale » (Quel en est le but ou l’objet ?) – qui sont pourtant l’armature de toute notre construction intellectuelle depuis les Grecs.

Ne nous étonnons pas qu’avec de tels « maîtres » l’école et ses professeurs déboussolés aient sacrifié des générations de jeunes, en considérant que l’apprentissage des dates, les exercices de grammaire, les conjugaisons ou le calcul mental étaient des réminiscences oppressantes d’une domination de classe.

Enfin tous les 4, apôtres infatigables de la déconstruction et ennemis de toute forme d’autorité qui furent leur fond de commerce rebelle, « méprisèrent l’État et la Nation ». En détruisant à la fois la pensée logique et les structures institutionnelle et culturelles qui portent la pensée occidentale, ils ont dit Yannick Jaffré, « intellectuellement émasculé la capacité politique des peuples ».

Comme la réalité se construit du « battement des contraires », celle-ci, attisée par les risques pesant sur nous, revient en force par la virulence des mouvements cherchant à ressourcer par l’histoire l’identité de l’Occident.

Mario Faure en Polynésie

Le Président de la Polynésie française, Edouard Fritch, a reçu, mercredi après-midi, le président de l’Union des Associations d’Auditeurs de l’IHEDN, Mario Faure, à l’issue de son séjour en Polynésie française à l’invitation de l’association régionale des auditeurs polynésiens de l’IHEDN (AR 28) et des acteurs du Polynôme académique. Le Président était accompagné de la ministre Tea Frogier.

L’Union des associations d’auditeurs de l’IHEDN mène de nombreuses actions pour resserrer le lien entre la jeunesse et l’esprit de défense et a contribué à la création de 15 classes de défense en Polynésie française, sous l’égide du Polynôme académique qui regroupe l’AR 28, le ministère de l’Education et les formes armées de Polynésie française, auquel s’est récemment ajouté le ministère de l’Agriculture. Proportionnellement, la Polynésie française est le territoire qui accueille le plus de classes de défense au niveau national.

L’union IHEDN est également très impliquée dans l’expérimentation du Service National Universel (SNU) à destination des jeunes de plus de 16 ans, qui a débuté dans 13 départements et qui doit être étendue à 100 départements en 2020, avec l’objectif de former à l’esprit de défense et au lien jeunesse/Nation 400 000 jeunes d’ici 4 ans et 800 000 d’ici 6 ans.

Le Président Fritch s’est félicité du dynamisme de l’association des auditeurs locaux de l’IHEDN et a assuré le président Faure de son entier soutien à ses activités et à l’organisation en 2020 d’une nouvelle session régionale dédiée à la Polynésie française, après le succès de celles déjà organisées en 2005 et 2012.

https://www.presidence.pf/le-president-recoit-le-president-de-lunion-des-associations-dauditeurs-de-linstitut-des-hautes-etudes-de-defense-nationale-ihedn/

Accord de Paris & Énergie

Les futurs possibles de l’Accord de Paris : enjeux stratégiques de l’énergie, par Patrice Geoffron Directeur du Centre géopolitique de l’énergie et des matières premières, professeur à l’université Dauphine PSL

Retransmission en direct depuis :

  • l’École militaire à Paris
  • dans l’amphithéâtre Hardouin de la faculté de droit à Poitiers (43 place Charles de Gaulle)
  • dans le grand amphithéâtre (rez-de-chaussée, à droite en entrant par l’entrée centrale où se trouve l’accueil) de EXCELIA La Rochelle (ex Group Sup de Co )
  • le lundi 18 novembre (arrivée de préférence à partir de 18h/18h15, la retransmission commençant à 18h30).

Remise de décoration

Le vendredi 18 octobre à 17 heures dans la salle de la mairie de la Flotte-en-Ré et en présence de Léon Gendre maire de la commune,

Michel Roussin, Commandeur de la Légion d’honneur et ancien ministre a remis les insignes d’Officier de l’ordre national du Mérite à Jean-Marc Brault de Bournonville.

Michel Roussin et Jean-Marc
(C) Catherine Hérault

Séminaire « Défense et Sécurité »

Compte tenu de notre implication dans les deux séminaires master 2 précédents (2017 et 2018) délocalisés à Bordeaux, nous avons proposé à l’IHEDN de reprendre directement cette formation à notre compte.

Notre proposition a été acceptée, ce qui nous permet de lancer la publication de ce séminaire auprès des diverses écoles, universités et instances susceptibles d’être intéressées.

Vous trouverez ci joint le programme et la plaquette de ce séminaire rebaptisé « défense et sécurité », ouvert à toute personne de niveau licence et plus, d’âge  compris entre 20 et 30 ans.

  • Il aura lieu du 3 au 8 février 2020 dans les locaux de Sciences Po Bordeaux.
  • Les candidatures doivent faire l’objet d’un courrier de motivation signé par le responsable pédagogique si les candidats sont encore étudiants ou par la hiérarchie pour tout autre candidat.
  • Le cout par inscrit sera de 30 euros.

[…] Ce séminaire peut notamment accueillir des jeunes ingénieurs de l’industrie qui peuvent être intéressés par ce séminaire.  

Josette Chassin et moi même restons à votre disposition pour toute information dont vous auriez besoin. […] 

Norbert Laurençon, Président AQUi-IHEDN